A peine arrivé depuis deux jours à Bobo-Dioulasso, Lambros Gougoulitzas défraie déjà la chronique.
Le géant grec a en effet passé sa deuxième nuit en Afrique derrière les barreaux du poste central de la police. Il semble que la dernière recrue des Etalons se soit retrouvé à l'origine d'une bagarre au Makno, célèbre "maquis" de la périphérie de la ville.

Alertés par le tenancier de l'établissement, les policiers ont dû se mettre à 6 pour interpeller le nouveaux blockeur. Ce dernier s'est refusé à tout commentaire, excepté un furtif "J'en ai marre qu'ils m'appelent Koukoulina!"

Une fois le calme revenu, Lambros a indiqué qu'il prendrait intégralement à sa charge les travaux de réaménagement de l'intérieur du Makno, suite à quoi Isidore Sanou, gérant des lieux a décider de retirer sa plainte.

Gougoulitzas a donc pu regagner libre son hotel ce matin. Le Makno, quand à lui restera fermé les 3 prochaines semaines.