Nouvelle intervention des forces de l'ordre au Makno. En l'espace de 5 jours, c'est la seconde fois que la police doit faire face à une rixe dans cet établissement.

Et une nouvelle fois, Lambros Gougoulitsas est au coeur de la polémique. Nos lecteur se souviennent sûrement que le célèbre maquis bobolais est fermé pour réparation depuis que le géant grec, nouvelle star des Etalons mécaniques, y a déclenché une bagarre 36 heures à peine après sa descente d'avion.

Lambros avait décidé de réglé l'affaire à l'amiable avec Isidore Sanou, le gérant, prenant à son compte la restauration du lieu. Et c'est justement suite à altercation entre les deux hommes à propos de la décoration de la salle principale qu'une nouvelle bagarre a éclatée.

"Ce dégénéré blanc voulait mettre des danseurs de Syrtaki sur tous les murs" expliqua rageusement M. Sanou au policiers arrivés sur les lieu. "Vous trouvez que ça fera sérieux d'avoir ça en toile de fond pour les concert de Farafina?"

Mais ce qui a fait éclater véritablement la situation c'est la découverte sur l'un des murs de la salle d'une inscription toute fraîche qui disait "Koukoulina est une taffiole". Vert de rage, le colosse Hellène a comment à exploser une à une toutes les chaises et tables intactes qui restaient dans l'établissement. Les 3 peintres et 4 membres du personnel du Makno présent n'ont pas pu réussir à le maîtrisé.
Les dégâts humains sont importants: 2 bras cassés, 1 nez enfoncé et 5 pantalons souillés.

Lambros Gougoulitsas est quand à lui de nouveau derrière les barreaux, mais pourrait bénéficier d'une remise en liberté conditionnelle avant le premier match de la saison.
Toujours est il que le blockeur grec a été placé à sa demande sur la liste des transferts.

Al-HAssan Tiendebreogo.